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Geneve Surgery, Chirurgie esthétique SUisse

Chirurgie esthétique

Geneve Surgery vous propose une expertise internationale qui a fait ses preuves en Suisse avec une clientèle internationale

Exemple de prestation en chirurgie esthétique

Une bosse nasale prononcée, une pointe de nez large et/ou grossière, un nez dévié, etc. sont autant de problèmes qui peuvent être résolus par une rhinoplastie. En remodelant les structures osseuses et cartilagineuses du nez, le chirurgien plasticien facial pourra donner au nez une forme attrayante et agréable ; il n'est jamais nécessaire d'enlever l'excès de peau, qui après l'opération s'adaptera à son nouvel échafaudage osseux-cartilagineux créé par le chirurgien. La rhinoplastie peut être réalisée selon deux techniques : la technique dite "fermée", ou la technique dite "ouverte".

La rhinoplastie "fermée" est ainsi appelée parce qu'il n'y a "apparemment" pas de cicatrices après ce type d'opération, puisque le chirurgien travaille sur les structures osseuses et cartilagineuses du nez à travers des incisions pratiquées dans la muqueuse nasale, qui seront donc invisibles pour le patient après l'opération. La rhinoplastie ouverte, en revanche, implique une cicatrice millimétrique à la base du nez (la columelle) réalisée par le chirurgien, grâce à laquelle il peut littéralement "dépouiller" le nez de son "costume de peau" et évaluer visuellement (et pas seulement au toucher comme avec la technique fermée) les défauts osseux et cartilagineux du nez à corriger. Comme pour toutes les techniques chirurgicales, il n'existe pas de technique optimale. L'argument concernant la technique à utiliser (fermée ou ouverte) est donc toujours le même : chaque cas nécessite une évaluation individuelle qui peut permettre au spécialiste de décider s'il faut utiliser une technique plutôt qu'une autre pour donner au nez la forme souhaitée.

Ce qu'il faut faire avant une rhinoplastie

La visite préopératoire avant l'opération de rhinoplastie est d'une importance fondamentale ; il est absolument nécessaire que le chirurgien comprenne le type de peau présente (épaisse ou fine), la relation entre les structures cartilagineuses et osseuses du nez, et enfin et surtout les changements dynamiques du nez (souvent, en faisant sourire le patient, il est possible de remarquer une chute de la pointe du nez), qui, s'ils ne sont pas correctement évalués en préopératoire, peuvent conduire à des résultats non satisfaisants en postopératoire : En résumé, rien ne doit être laissé au hasard lors d'une rhinoplastie. Un point très important à souligner est la nécessité d'une évaluation "instrumentale" du nez avant l'opération, c'est-à-dire une investigation qui permet au chirurgien d'avoir une appréciation des structures qui ne peuvent être évaluées par la simple inspection clinique. Parfois, un examen nasal endoscopique peut révéler beaucoup d'informations, mais (à mon avis) un scanner du massif facial est une investigation essentielle pour le chirurgien plasticien facial qui veut faire une évaluation correcte du "quoi faire" avant de réaliser une rhinoplastie. La même évaluation préopératoire permettra au chirurgien d'opter pour une rhinoplastie fermée ou "ouverte", en bref, la technique fermée est valable lorsqu'il s'agit de corriger simplement le dorsum nasal, lorsque des travaux "fins" sur la cloison nasale, sur la pointe, sur les cartilages triangulaires, etc. sont nécessaires, la technique ouverte simplifie certainement le travail du chirurgien, en lui donnant une plus grande visibilité du champ opératoire, ainsi qu'une liberté pour réaliser d'autres techniques chirurgicales "fines". Une fois que l'opération de remodelage du nez a été décidée, une évaluation préopératoire de l'état de santé général du patient sera bien sûr nécessaire. Elle sera effectuée après des analyses de sang de routine, un électrocardiogramme et une radiographie du thorax.

Type d'anesthésie nécessaire

La rhinoplastie doit toujours être réalisée sous anesthésie générale, bien que dans certains cas, il soit également possible d'effectuer une sédation avec anesthésie locale, la raison étant simplement une plus grande sécurité pour le patient ; si le chirurgien travaille sur le nez, et donc sur les voies respiratoires, celles-ci ne peuvent pas être soigneusement contrôlées par l'anesthésiste, ce qui pourrait rendre plus difficile la résolution d'éventuels problèmes peropératoires ou la gestion de l'inhalation de sang par le patient. C'est précisément en raison de ces considérations qu'il est toujours conseillé d'opter pour une anesthésie générale, éventuellement réalisée avec un masque laryngé et non avec une sonde intra-trachéale, afin de réduire l'inconfort du patient, mais en mettant toujours la sécurité per-opératoire du patient au premier plan.

Exemple de prestation en médecine esthétique

Le Botox est un véritable médicament, contrairement à la plupart des substances injectables utilisées en médecine esthétique. À l'origine, l'utilisation du botulisme était purement liée au traitement de maladies et/ou de troubles neurologiques, et la découverte que ce médicament pouvait jouer un rôle dans le rajeunissement du tiers supérieur du visage est le fruit d'un pur hasard. Deux époux canadiens, un dermatologue et un ophtalmologue, ont remarqué une amélioration des rides glabellaires (les rides entre les deux sourcils) de leurs patients lors des contrôles après une infiltration de botulinum pour traiter le strabisme. Depuis lors, des études ont été lancées qui nous ont permis de comprendre pleinement comment les infiltrations de Botox peuvent contribuer au rajeunissement du visage.

Quel est l'objectif du Botox ?

Le Botox est utilisé pour le rajeunissement non invasif du front, des rides glabellaires et des pattes d'oie (rides péri-orbitaires). Le traitement est temporaire et réversible, et pour maintenir les résultats obtenus avec le Botox, il est nécessaire de répéter le traitement dans le temps.

Comment cela fonctionne

Le Botulinum agit simplement en relaxant les muscles de la zone où il est infiltré. Il est donc essentiel que l'opérateur qui utilise cette molécule connaisse l'anatomie correcte de la région frontale, zone où le produit est principalement utilisé. Les résultats de l'infiltration de botulinum ne sont pas immédiats, mais il faut attendre quelques jours pour que son effet soit visible. Dans tous les cas, environ quatre jours après l'infiltration, le résultat final peut être ressenti, mais il faut environ 3 semaines pour atteindre son effet maximal, et reste constant pendant encore 2 mois, puis s'estompe en 3 mois environ. L'amélioration de la région frontale et péri-oculaire (pattes d'oie) que l'on peut obtenir avec le Botox est donc temporaire, et l'intervention doit être répétée tous les 6 mois pour maintenir le résultat constant ; toutefois, si le patient ne souhaite plus répéter le traitement, contrairement à ce que l'on pense à tort, il ne se passe rien de négatif : les rides qui étaient présentes avant les infiltrations réapparaissent simplement.

Éliminer les rides avec le Botox  

Comme pour toutes les interventions de médecine et de chirurgie esthétique, il est essentiel d'avoir une consultation complète avec le chirurgien avant le traitement, car, contrairement à ce qui est rapporté dans les médias et les journaux, avec le Botox il est possible d'obtenir un résultat personnalisé en fonction des besoins individuels de chaque patient.  Le Botox n'est jamais vendu sous forme liquide, il est important de s'assurer que le flacon est ouvert devant le patient et qu'il est dilué avec du sérum physiologique et/ou de l'anesthésiant avant d'être infiltré), puis de l'infiltration à différents endroits selon les besoins du patient. Une fois l'infiltration terminée, de petites bosses apparaîtront à l'endroit de l'inoculation, qui disparaîtront en une vingtaine de minutes, le temps que l'organisme réabsorbe la solution injectée. Il est important de ne pas masser ces boutons, car il y a un risque de répandre le botulisme dans les zones où l'on ne veut pas qu'il ait d'effet. Immédiatement après un traitement au botulinum, il faut éviter pendant quelques heures de s'approcher de grandes sources de chaleur comme les lampes solaires, les saunas, etc., car la chaleur entraînerait une augmentation du calibre des vaisseaux sanguins, ce qui pourrait faire affluer le botulinum dans des zones où nous ne voulons pas qu'il agisse : en bref, il est très important que le botulinum n'agisse que là où il est injecté par le chirurgien.

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